Dans le registre de la multitude, il faut aussi évoquer les scènes de kermesse ou de carnaval ou de fête villageoise -on ne sait comment les qualifier- qui sont autant de feux d'artifice dans l'œuvre de Tibor Dengyel. Compositions foisonnantes, truculentes, entraînées par un rythme endiablé. Compositions imaginaires aussi, tout droit sorties de la fantaisie de l'artiste, entre farandoles et banquets bruegheliens, nourries de folklore et de souvenirs lointains, de légendes et de personnages fantastiques. DP